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Six entrepreneures du Saguenay-Lac-Saint-Jean dans le Palmarès des entreprises au féminin - Chambre de commerce et d'industrie Saguenay-Le Fjord

Six entrepreneures du Saguenay-Lac-Saint-Jean dans le Palmarès des entreprises au féminin

Le parcours de six femmes entrepreneures qui se démarquent au Saguenay-Lac-Saint-Jean est mis en lumière dans le dernier Palmarès des entreprises au féminin, produit par la Caisse de dépôt et placement du Québec.

Parmi celles sélectionnées, trois appartiennent à la catégorie des moyennes entreprises (10 à 50 millions de chiffre d’affaires annuel), deux à la catégorie « Forces vives » (entre 5 et 10 millions) et une à celle des « Étoiles montantes » (1 à 5 millions).

Émilie St-Laurent, et son entreprise Sports DRC, mène les compagnies de la région de la catégorie moyenne, en ce qui a trait aux années d’existence. Depuis 51 ans, plusieurs vont chercher leurs motoneiges et autres véhicules récréatifs chez cette institution.

Télénet Communnications, dirigé par Annick St-Pierre, n’est pas dans le domaine sportif, mais accompagne toutefois Sports DRC sur le palmarès des moyennes entreprises. Cela fait plus de 30 ans que l’entreprise offre ses services en matière de technologies de l’information.

Illustrant la polyvalence de la région dans plusieurs domaines, le secteur médical est également représenté par Pascale Lamarche, d’Unimédic. L’entreprise a annoncé avoir investi un montant de 3 M$ dans ses nouveaux locaux, l’été dernier.

Chez les « Forces vives », une femme se démarque dans un milieu particulièrement stéréotypé au masculin : la construction. Mélissa Lapointe excelle dans ce domaine, selon le Palmarès, où elle est à la barre de Construction Nivo-Tech, une entreprise qui fête ses 33 ans.

Dans la même catégorie, Annik Lachance-Gravel impressionne par ses huit ans de vie entrepreneuriale. Son entreprise d’entretien ménager compte plus de 150 employés, bien elle n’existe depuis moins longtemps que la moyenne de sa catégorie.

L’Auberge des 21 n’est pas une « Étoile montante » au sens strict, puisqu’elle est bien connue. Toutefois, c’est elle qui représente la région dans cette catégorie, alors que Valéria Landivar est celle qui tient le fort.

Il est possible pour les femmes qui sont propriétaires d’une entreprise qui rapporte entre 5 M$ et 50 M$ de chiffre d’affaires, annuellement, de rejoindre la communauté « Les Cheffe de files » en cliquant ici.

Source : L'article est paru sur le site du journal le Quotidien le 29 janvier 2024. Vous pouvez retrouver l'article ici.